Une délégation égyptienne en Israël pour relancer les discussions sur une trêve à Gaza
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Une délégation égyptienne en Israël pour relancer les discussions sur une trêve à Gaza

Une délégation égyptienne est arrivée vendredi en Israël pour tenter de relancer les négociations sur une trêve dans la bande de Gaza associée à une libération d’otages. Sur le terrain, l’armée israélienne et le Hezbollah libanais ont échangé des tirs de missiles dans la nuit de jeudi à vendredi, tandis que les bombardements israéliens se poursuivent à Gaza. Voici le fil du 26 avril. 

L’essentiel

  • L’armée israélienne et le Hezbollah libanais ont échangé des tirs de missiles dans la nuit de jeudi à vendredi, dans la zone de “Har Dov” (nom israélien des Fermes de Chebaa, zone frontalière contestée). 

  • Les bombardements israéliens se poursuivaient vendredi à Gaza, où des témoins ont fait état de frappes dans la nuit de jeudi à vendredi, notamment dans le secteur de Rafah. Des rescapés ont tenté de récupérer des objets dans les décombres après ces attaques.

  • En France, une mobilisation pro-palestinienne s’est déroulée vendredi à Sciences Po Paris avec l’occupation et le blocage de locaux par des étudiants, dont les revendications faisaient écho aux contestations qui agitent certains prestigieux campus américains. La direction a annoncé avoir trouvé un accord avec les étudiants mobilisés. 

  • Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a fait savoir vendredi que les décisions de la Cour pénale internationale (CPI) n’auraient aucune incidence sur les actions d’Israël, mais qu’elles constitueraient un dangereux précédent. La plus haute juridiction de l’ONU a annoncé qu’elle se prononcerait mardi sur un recours du Nicaragua qui accuse l’Allemagne d’avoir violé la convention sur le génocide de 1948 en fournissant des armes à Israël pour la guerre à Gaza.

  • Une délégation égyptienne est arrivée vendredi en Israël pour tenter de relancer les négociations sur une trêve dans la bande de Gaza associée à une libération d’otages.

  • L’enquête interne des Nations unies consécutive aux accusations portées en janvier par Israël contre 12 employés de l’agence pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) pour leur implication présumée dans les attaques du Hamas du 7 octobre a conduit, à ce stade, à clore un dossier et à en mettre de côté trois autres faute d’informations suffisantes.

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  • 21 h 30 : la direction de Sciences Po Paris annonce un accord avec les manifestants propalestiniens

La direction de Sciences Po Paris a annoncé vendredi soir un accord avec ses étudiants mobilisés pour la cause palestinienne, par lequel elle s’engage à organiser un débat interne et à suspendre des procédures disciplinaires lancées contre des manifestants. 

“Compte tenu de ces décisions, les étudiants se sont engagés à ne plus perturber les cours, les examens ainsi que toutes les activités de l’institution”, écrit Jean Bassères, administrateur provisoire de l’institution, dans un message transmis aux étudiants et professeurs à l’issue d’une journée de tensions devant le prestigieux établissement, sous la surveillance étroite des forces de l’ordre.

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Ce message a été accueilli avec satisfaction par les dizaines de manifestants encore rassemblés à 21H30 devant l’établissement  – des étudiants, militants ou sympathisants du comité Palestine de Sciences Po mobilisés depuis quelques jours dans et en dehors des locaux historiques de l’école, au coeur du huppé VIIe arrondissement – a constaté une journaliste de l’AFP. 

Des manifestants avaient bloqué dans la matinée l’accès de ce prestigieux établissement d’étude supérieur. La tension était montée d’un cran en fin d’après-midi avec l’arrivée d’une cinquantaine de manifestants pro-Israël et une bousculade entre partisans des deux camps.

Des contre-manifestants, tenant des pancartes du collectif "Nous Vivrons" en soutien à Israël (à gac) font face à des manifestants pro-palestiniens (D) à l'entrée de Sciences Po Paris.
Des contre-manifestants, tenant des pancartes du collectif “Nous Vivrons” en soutien à Israël (à gauche) font face à des manifestants pro-palestiniens (à droite) à l’entrée de Sciences Po Paris, le 26 avril 2024. © AFP

  • 20 h 05 : nouvelle aide de 68 millions d’euros de l’UE pour Gaza

L’Union européenne a annoncé vendredi une nouvelle aide humanitaire de 68 millions d’euros aux Palestiniens de Gaza. “Compte tenu de la détérioration continue de la grave crise humanitaire à Gaza et de l’augmentation constante des besoins sur le terrain, la Commission (européenne) augmente son financement pour soutenir les Palestiniens”, souligne un communiqué de l’UE.

“Ce soutien porte le total de l’aide humanitaire de l’UE à 193 millions d’euros pour les Palestiniens dans le besoin à l’intérieur de Gaza et dans toute la région en 2024”, selon la même source. L’UE a déclaré que la nouvelle aide se concentrerait sur les livraisons de nourriture, l’eau potable, l’assainissement et les abris, et qu’elle serait acheminée par l’intermédiaire de partenaires locaux sur le terrain.

  • 19 h 32 : un cadre d’un groupe allié au Hamas tué dans une frappe israélienne au Liban

Un cadre d’un groupe islamiste libanais proche du Hamas palestinien a été tué vendredi dans une frappe israélienne sur sa voiture dans l’est du Liban, ont indiqué une source de sécurité libanaise et l’armée israélienne. 

“Un cadre libanais de la Jamaa islamiya a été tué par une frappe de drone israélien qui a visé sa voiture”, sur la route de Meidoun, a précisé à l’AFP une source de sécurité libanaise qui a requis l’anonymat. L’Agence nationale d’information (ANI, officielle) a, pour sa part, fait état de deux morts dans une frappe “ennemie” sur cette route.

Vendredi soir, l’armée israélienne a confirmé dans un communiqué que son aviation avait “frappé et éliminé Mosab Khalaf dans la région de Meidoun au Liban, un terroriste de haut rang de l’organisation terroriste Jamaa Islamiya qui a préparé un grand nombre d’attaques terroristes contre Israël”.


  • 19 h 19 : l’enquête de l’Onu sur les employés de l’Unrwa se poursuit, l’un d’eux blanchi

L’enquête interne des Nations unies consécutive aux accusations portées en janvier par Israël contre 12 employés de l’agence pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) pour leur implication présumée dans les attaques du Hamas du 7 octobre a conduit, à ce stade, à clore un dossier et à en mettre de côté trois autres faute d’informations suffisantes, a annoncé vendredi le porte-parole de l’Onu Stéphane Dujarric. Les investigations se poursuivent sur les huit autres, a-t-il précisé.

S’agissant du premier employé évoqué, “aucun élément n’a été fourni par Israël pour étayer les allégations” à son encontre et l’Onu “explore les voies d’une action corrective administrative dans son cas”. Concernant les trois cas dont l’étude a été “suspendue”, le porte-parole a indiqué que “les informations fournies par Israël ne sont pas suffisantes” pour diligenter une enquête interne.

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  • 17 h 08 : arrivée de la délégation égyptienne en Israël

Une délégation égyptienne est arrivée vendredi en Israël pour tenter de relancer les négociations sur une trêve dans la bande de Gaza associée à une libération d’otages, pendant que se prépare une offensive israélienne sur Rafah, selon des médias égyptiens et israéliens.

  • 16 h 40 : 37 millions de tonnes de déchets à déblayer dans la bande de Gaza 

L’ONU a calculé la masse des débris et gravats à déblayer dans la bande de Gaza, soumise à un pilonnage intensif et de violents combats depuis le début de la guerre d’Israël contre le Hamas.

“Nous avons estimé à 37 millions de tonnes de débris, soit environ 300 kilos de débris par mètre carré” dans la bande de Gaza, qui avant la guerre était très densément peuplée et urbanisée, a expliqué Pehr Lodhammar, un responsable de l’UNMAS, l’agence de l’ONU chargée du déminage.

En partant de l’hypothèse de l’utilisation d’une centaine de camions, il “faudrait 14 ans pour déblayer”, a-t-il souligné lors du point de presse régulier de l’ONU à Genève.

  • 16 h 17 : les décisions de la CPI “n’affecteront pas les actions d’Israël” prévient Benjamin Netanyahu

Le Premier ministre israélien a déclaré vendredi que les décisions de la Cour pénale internationale (CPI) n’auraient aucune incidence sur les actions d’Israël, mais qu’elles constitueraient un dangereux précédent.

“Sous ma direction, Israël n’acceptera jamais que la Cour pénale internationale de La Haye tente de porter atteinte à son droit fondamental de se défendre”, a déclaré Benjamin Netanyahu dans un communiqué diffusé sur Telegram. “Les décisions prises par la Cour de La Haye n’affecteront pas les actions d’Israël, mais elles créeront un dangereux précédent qui menacera les soldats et les personnalités publiques.”

  • 15 h 50 : de hauts diplomates arabes et européens à Riyad pour des discussions sur Gaza

Le Forum économique mondial, qui s’ouvre dimanche à Riyad, en présence notamment des ministres des Affaires étrangères saoudien, jordanien, égyptien et turc, devrait être l’occasion d’échanges entre hauts diplomates arabes et européens à propos de la guerre entre Israël et le Hamas à Gaza, ont indiqué des sources diplomatiques

Lundi, une séance consacrée à Gaza réunira le nouveau Premier ministre palestinien Mohammed Mustafa, le chef du gouvernement égyptien Mostafa Madbouly et Sigrid Kaag, coordinatrice de l’aide des Nations unies pour Gaza.

Le ministre français des Affaires étrangères Stéphane Séjourné fait partie des responsables européens qui se rendront dans la capitale saoudienne pour ces discussions.

  • 15 h 20 : décès du bébé palestinien sauvé de l’utérus de sa mère mourante à Gaza

Le nourrisson palestinien, récemment sauvé de l’utérus de sa mère agonisante après un bombardement israélien, est décédé à l’hôpital de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, a annoncé vendredi son oncle à l’AFP.

L’hôpital émirati de Rafah, où était hospitalisée cette petite fille née prématurée, a indiqué dans un communiqué que Sabreen al-Rouh – comme l’avait prénommée son oncle – était décédée jeudi, sans autre détail. 

  • 14 h 18 : les États-Unis disent avoir abattu deux drones au-dessus du Yémen

Les États-Unis ont annoncé vendredi avoir abattu deux drones dans des régions du Yémen contrôlées par les Houthis après que ces rebelles soutenus par l’Iran ont lancé un missile balistique dans le golfe d’Aden.

Le missile antinavire lancé jeudi n’a fait ni blessé ni dégât, a indiqué le Commandement militaire américain pour le Moyen-Orient (Centcom) dans un communiqué sur le réseau social X.


Quelques heures plus tard, les forces américaines ont “détruit un drone de surface naval et un drone dans des zones contrôlées par les Houthis au Yémen”, a déclaré le Centcom.

  • 13 h 57 : au moins trois morts dans une frappe israélienne sur Gaza-ville 

Au moins trois personnes ont été tuées vendredi dans le bombardement d’une maison de la ville de Gaza par des avions israéliens, a constaté un correspondant de l’AFP.  Ce journaliste a vu à la mi-journée des appareils israéliens tirer des missiles sur une maison du quartier Al-Rimal, et les corps d’un homme, d’une femme et d’un enfant être extraits des décombres.

  • 13 h 35 : le ministère de la Santé du Hamas annonce un nouveau bilan de 34 356 morts

Le ministère de la Santé du Hamas a annoncé vendredi un nouveau bilan de 34 356 morts dans la bande de Gaza depuis le début de la guerre entre Israël et le mouvement islamiste palestinien le 7 octobre.

En 24 heures, au moins 51 morts supplémentaires ont été recensés, selon un communiqué du ministère qui fait état de 77 368 blessés en plus de 200 jours de guerre.

  • 13 h 08 : les manifestations sur les campus américains font partie de la “démocratie”, selon Antony Blinken

Le secrétaire d’État américain Antony Blinken a déclaré vendredi que les manifestations sur les campus qui secouent les États-Unis à propos du Moyen-Orient faisaient partie de la “démocratie”. 

“C’est une caractéristique de notre démocratie que nos citoyens fassent connaître leurs opinions, leurs préoccupations, leur colère, à tout moment”, a-t-il déclaré à des journalistes en Chine.

  • 11 h 59 : l’Égypte envoie une délégation en Israël pour parler d’une trêve à Gaza, selon des médias

Une délégation venue d’Égypte, l’un des trois pays médiateurs avec le Qatar et les États-Unis, est attendue vendredi en Israël pour discuter de questions de “sécurité”, selon une source proche du gouvernement. Mais selon des médias israéliens, la délégation doit tenter de relancer les négociations et plaider pour un accord de trêve entre Israël et le Hamas impliquant la libération de “dizaines” d’otages.

D’après le site israélien Walla, qui cite un haut responsable israélien, les discussions portent sur une proposition pour libérer dans un premier temps 20 otages considérés comme des cas “humanitaires”. 

Selon la chaîne Al-Araby, il s’agit aussi d’appuyer les efforts déployés par l’Égypte pour empêcher une offensive sur Rafah.

  • 10 h 09 : la mobilisation pro-palestinienne se poursuit à Sciences Po Paris

La mobilisation pro-palestinienne se poursuit vendredi matin à Sciences Po Paris, où des étudiants ont passé la nuit dans le bâtiment historique de l’école et entrepris de bloquer sa principale entrée, a constaté l’AFP. 

Keffiehs sur la tête, drapeaux palestiniens accrochés aux balustrades et slogans en faveur de la lutte palestinienne, des étudiants qui ont passé la nuit dans l’établissement étaient visibles vendredi matin aux fenêtres du 27 rue Saint-Guillaume, siège historique de l’école.

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Des poubelles et du matériel de chantier obstruent l’entrée principale de Sciences Po Paris qui bénéficie d’un vaste campus dans le centre de la capitale, scindé en plusieurs implantations. Quelques dizaines d’étudiants sont présents dans la rue. 

Contactée, la direction de l’établissement n’était pas joignable à ce stade.

Une conférence de presse du comité Palestine de Sciences Po est prévue vendredi matin.



  • 9 h 50 : le PS réclame la suspension de l’accord d’association UE-Israël

Le Parti socialiste, par la voix d’Olivier Faure, a réclamé vendredi la suspension de l’accord d’association entre l’UE et Israël qui est “en train de raser la bande de Gaza” selon son candidat aux européennes Raphaël Glucksmann. Il a plaidé pour “faire en sorte que l’Europe ne soit pas simplement là encore alignée sur les Etats-Unis et fasse ses propres choix”.

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“Nous ne pouvons pas accepter qu’un gouvernement d’extrême droite, celui de Netanyahu, continue à frapper indistinctement les civils, les femmes, les enfants comme les combattants, comme les journalistes, comme les humanitaires”, a dénoncé le Premier secrétaire du PS Olivier Faure sur Public Sénat.

“Vous avez là des enfants qui sont désormais orphelins, qui sont estropiés, qui sont des enfants qui n’auront qu’une envie dans l’existence, c’est se venger de ce qu’ils ont subi”, a-t-il ajouté.

  • 6 h 08 : l’université Columbia dit reporter l’évacuation des manifestants pro-palestiniens sur son campus

L’université américaine Columbia a ajourné la date limite de vendredi à minuit (4 h GMT), fixée aux étudiants pro-palestiniens pour qu’ils évacuent le campus, occupé pour protester contre la guerre à Gaza, a-t-elle annoncé.

“Les négociations ont progressé et se poursuivent comme prévu”, a affirmé le bureau de la présidence de l’université new-yorkaise dans un communiqué.

“Nous avons nos demandes, ils ont les leurs”, poursuit le bureau de la présidence, en démentant qu’une intervention de la police ait été réclamée. “Ils nous traitent de terroristes, ils nous traitent de violents. Mais le seul outil dont nous disposons ce sont nos voix”, a déclaré une des étudiantes présente au rassemblement pro-palestinien, se présentant sous le nom de Mimi.



© France 24

  • 5 h 10 : les bombardements se poursuivent à Gaza

Des témoins ont fait état de bombardements à Gaza, dans la nuit de jeudi à vendredi, notamment dans le secteur de Rafah où des rescapés ont tenté de récupérer des objets dans les décombres après des frappes.

“Assez de destruction, assez de guerre. Assez de sang versé d’enfants, de femmes, de personnes âgées et de civils non armés (…) c’est allé trop loin (…) Laissez les gens vivre”, a lancé l’un d’eux, Samir Daban, au milieu des gravats.

Alors que les 2,4 millions d’habitants du territoire assiégé sont confrontés à un désastre humanitaire, les États-Unis ont commencé à construire un port temporaire et une jetée face au littoral de Gaza, qui permettra à des navires militaires ou civils de déposer leurs cargaisons d’aide.



© AFP

  • 4 h 32 : des échanges de tirs entre Israël et le Hezbollah

L’armée israélienne et le Hezbollah libanais ont échangé des tirs de missiles dans la nuit de jeudi à vendredi.

L’armée israélienne a fait état de “deux tirs de missiles anti-chars” ayant touché le nord d’Israël depuis le Liban dans la nuit et dit avoir ciblé les “sources de ces frappes” avec des tirs d’artillerie. Des avions militaires ont frappé des “infrastructures” du Hezbollah dans le secteur de Kfarchouba, a précisé l’armée israélienne dans un bref communiqué.

De son côté, le Hezbollah libanais, mouvement soutenu par l’Iran et allié du Hamas palestinien, a revendiqué dans un communiqué des tirs ayant “touché” les forces israéliennes à la frontière.

– Israël a bombardé jeudi plusieurs secteurs de la bande de Gaza, comme la ville de Rafah. Le porte-parole du gouvernement, David Mencer, a annoncé que le cabinet de guerre s’était réuni “pour discuter des moyens de détruire les derniers bataillons du Hamas”.

– Les États-Unis ont commencé la construction d’une jetée à Gaza, a annoncé le Pentagone, un projet destiné à faciliter l’acheminement de l’aide humanitaire.

– La tension reste électrique sur les campus américains, où le mouvement de protestation contre la guerre à Gaza se généralise à travers le pays, et a conduit à des centaines d’arrestations.

– De 80 000 à 100 000 Palestiniens sont arrivés en Égypte depuis le début de la guerre entre le Hamas et Israël à Gaza, a affirmé à l’AFP jeudi l’ambassadeur palestinien au Caire, Diab Allouh.

– Les dirigeants de 18 pays – dont les États-Unis, la France, le Royaume-Uni et le Brésil – appellent dans un texte commun à “la libération immédiate de tous les otages retenus par le Hamas à Gaza”.

Avec AFP et Reuters

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